Changer le revêtement ou non ?

Votre canapé est décrépi, certes. Mais à quel point ? Avant d’aller plus loin, évaluez les dégâts. Sans cela, vos talents de couturières risquent vite de se retrouver dépassés. En priorité, assurez-vous que le cadre du canapé est encore au point. Il s’agit de la structure qui soutient l’ensemble.

Si celle-ci n’est pas en bout de course, vous avez de la marge. De la mousse trouée et aplatie, ou encore des ressorts affaissés sont faciles à régler. Des lattes ramollies ou cassées peuvent également être remplacées. Une fois ce petit diagnostic fini, le changement du revêtement de votre canapé peut commencer pour de bon.

Quelle matière pour un nouveau revêtement ?

Le tissu est assurément la matière ayant le plus de potentiel. Il va vous permettre d’exprimer votre pleine créativité et de laisser parler vos goûts. Le velours, par exemple, est un indémodable. Toutefois, vous disposez maintenant, sur le marché d’un large choix de tissus d’ameublement. Mieux, certains s’adaptent parfaitement aux tracas d’ordre pratique.

Si le canapé est très fréquemment utilisé, avec la présence d’enfants à la maison, il vaut mieux opter pour un textile synthétique antitache. Dans le cas contraire, il pourra être revêtu de coton, de lin ou de laine. Le cuir, lui, a l’esthétique et la classe de son côté. Il a l’avantage de s’adapter à n’importe quelle décoration, en plus d’être robuste et facile à entretenir. Le hic, c’est que sa résistance le rend difficile à coudre. En plus, il nécessite une machine puissante, voire professionnelle. Au vue du prix du matériau et de sa difficulté, ce n’est probablement pas l’option pour laquelle vous opterez si vous êtes débutant(e).

Comment procéder ?

La confection du nouveau revêtement peut se faire selon vos aspirations, mais aussi selon la forme de votre canapé. Leur point commun, c’est qu’il vous faudra passer par quelques gestes bien connus : mesurer, faire vos patrons, découper. Pour accélérer le processus, vous pouvez, par exemple, utiliser l’ancien revêtement comme patron. Pour cela, il faut le démonter bien soigneusement en suivant bien les coutures. Vous passez ensuite à l’étape de la couture, pour en ressortir avec des semblants de housses. Vous n’aurez qu’à utiliser des bandes de velcro pour coller les pièces les unes aux autres.

Un autre approche consiste à « retapisser » le canapé. Une fois le tissu découpé, vous n’avez qu’à clouer les pièces de tissu au cadre. Pensez à vous rappeler l’ordre dans lequel les anciennes pièces ont été enlevées. De cette manière, vous disposez d’une carte mentale pour vous diriger plus facilement.

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Pour moi, une invitation à une soirée au casino a été un de ces moments révélateurs du lien entre la couture et son intérêt pratique. En ce qui concerne le casino, l’occasion ne s’était jamais présentée. Ne riez pas. Je suis un peu frileuse sur certaines choses et je n’aime pas forcer le destin. Une fois l’idée lancée avec des amies, je me suis décidée. Je voulais en faire une expérience complète avec tout le rituel qui s’impose. Dans le foulée, la question de la tenue m’est tout de suite venue. Une robe de soirée chic s’imposait. Malgré tout, je ne voulais pas vider ma bourse le temps d’une nuit. La machine à coudre n’était pas loin. Je m’en suis donc fabriqué une. Pour celles qui ne trouvent malgré tout pas de quoi s’habiller, il y a toujours les casinos en ligne. Vous pourrez ainsi jouer aux machines à sous et autres jeux de casino en pyjama! Pour en savoir plus, jetez un oeil sur casinosenligne.net, ce site répertorie des les meilleures plateformes de jeux en ligne en France et dans les pays francophones.

Internet est votre ami

Le plus sûr moyen de trouver de nouvelles idées, c’est bel et bien Internet. Il n’a pas été difficile de trouver de quoi s’inspirer. Pour une robe spéciale casino, je voulais quelque chose qui rappelle un peu la classe et le prestige des salles de jeux. Ma plus grande peur, c’était d’être en décalage avec les autres. Je craignais d’être trop habillée, ou, au contraire, pas assez.

Il est tout de suite apparu que les paillettes, les plumes et les coupes style french cancan restaient l’apanage des casinos de Las Vegas. Les établissements européens semblent moins exubérants. J’ai donc vite été convaincue par un style plus léger. Le carnaval et ses paillettes seraient pour une prochaine fois.

Pour cette soirée spéciale jeux de casinos, j’ai donc opté pour une robe ajustée à manches longues qui s’arrête au-dessous des genoux. Pour souligner le côté glamour de ma future soirée, j’ai garni les manches de sequins de la même couleur. La simplicité de ce modèle fait que le patron a été facile à trouver. Et comme je souhaitais un retombé assez lourd et que je ne voulais pas de plis, mon choix de tissu s’est porté sur la gabardine.

Soirée au casino

Mais alors une fois la robe confectionnée et chaussée mes escarpins les plus élégants, quid de cette fameuse soirée casino ? Une très bonne surprise, je dois avouer ! L’endroit valait largement les efforts que j’ai mis sur la robe. Si je n’avais jamais visité de casino, sachez que l’expérience m’a fait plutôt forte impression. Cela est certainement dû à ce mélange de modernité luxe et de tradition. Ici, les machines à sous et les tables de jeux côtoyaient des tissus d’ameublement du plus bel effet, des belles moquettes, mais aussi des colonnades et une décoration des plus raffinées. Confort et prestige, on se retrouve vraiment dans un monde à part, où se lâcher en toute liberté. J’ai tout de suite eu l’impression de plonger dans un petit cocon dédié à mon amusement.

Bien que ma tenue ait été digne d’une table de baccara, je ne pouvais pas passer devant les machines à sous sans en essayer quelques-unes. J’ai été assez étonnée de voir ces énormes stations avec écrans incurvés. Chacun arborait un thème différent, allant des pirates aux dieux d’Égypte. Dans mon imagination, on usait de leviers pour faire danser les bobines, tandis que les gains pleuvaient par une fente. Ici, les gros leviers avaient été supplanté par de gros boutons aux couleurs électriques.

A dire vrai, l’expérience des rouleaux ne m’a pas laissé extatique. J’ai été nettement plus séduite par l’animation des tables de jeu. La roulette, notamment, a parfaitement correspondu à l’idée que je me faisais d’une soirée au casino. Un immense tapis de jeu bordeaux, les jetons et un croupier élégant qui anime la partie… Avouons que cela ressemble un peu plus à une scène issue d’un James Bond. Entre l’animation qui règne à la table et le rythme du jeu scandé par le croupier, les bonds de la bille sur les cases de la roulette sont presque hypnotiques. Et ne parlons pas de la fièvre qui précède l’arrêt de cette petite boule d’ivoire ! J’ai presque regretté mes manches longues à sequins.

Entre deux sessions, mes amies et moi avons pu nous prélasser au lounge-bar du casino en attendant de passer à une prochaine table. Rafraîchies, nous avons jeté notre dévolu sur la table de baccara. Tout comme la roulette, elle ne nous a pas déçus. Une fois quelques explications reçues sur les règles, sous l’apparente complexité se cachait un jeu d’une étonnante facilité. Il suffisait de deviner laquelle des deux mains proposées se rapprochait le plus du 9. Rien de plus simple. Ici, les joueurs n’ont droit à aucune carte. Les mains sont attribuées aux fictifs « banque » et « joueur ».

Après en avoir tenté quelques uns, il était temps d’arriver sur la table de blackjack. Là, j’ai dû passer mon tour. Ce jeu nécessite un peu plus qu’un niveau initiatique pour s’amuser vraiment, quoique le principe soit rapide à saisir : atteindre un total de 21 points, ou s’en rapprocher. On joue contre la banque et contre le croupier. Il faut sentir le jeu, doser les risques et être un peu chanceux aussi.

Il y avait encore des tables de poker, mais très peu pour moi pour me lancer. Je le sentais une peu compliqué pour une première fois. Quoi qu’il en soit et pour conclure, cette section des tables de jeu du casino m’a plu. On y trouvait un très grand raffinement, avec des clients ayant tous fait de vrais efforts pour s’habiller et se présenter sous leur meilleur jour. Dans ce contexte, j’ai été très heureuse de pouvoir porter une robe chic, faite par moi-même qui plus est !

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À vos marques !

Avant tout, j’aimerais que vous méditiez sur la raison pour laquelle vous souhaitez vous mettre à confectionner vos vêtements. Est-ce que c’est pour des motivations financières ? Ce qui parait justifié puisque coudre ses habits soi-même reste quand même économique. Est-ce une véritable passion ? Si oui, et dans ces deux cas, je vous servirai de guide avec grand plaisir. Une envie passagère ? Dans ce cas, vous vous êtes probablement trompé de blog, car ce domaine nécessite un énorme dévouement.

Maintenant que vous êtes fixé, passons aux choses sérieuses. « Par où commencer ? », c’est la question que tous les futurs couturiers se posent. Loin de moi l’idée de vous décourager, mais vous allez devoir débourser un montant assez conséquent pour vous équiper au début. La machine à coudre, les tissus, les ciseaux, le fer et la planche à repasser ainsi que les matériels de base comme le fil, l’aiguille, le mètre ruban, les épingles, le découseur… Cet attirail de couturier sera votre meilleur allié le long de votre apprentissage. De ce fait, il doit être au grand complet. Quitte à enchainer les marchés aux puces pour trouver des objets bon marché.

La couture pour les Nuls

Une fois que vous avez rassemblé les outils nécessaires, vous pouvez enfin vous mettre à réaliser vos vêtements. Bien entendu, il faudra d’abord bien lire le manuel d’utilisation de la machine à coudre. Pour une première expérience, optez d’abord pour un ouvrage très simple : une jupe par exemple. C’est le modèle idéal pour apprendre, car vous avez juste à mesurer la taille et les hanches. Ajustez ensuite la longueur de la jupe selon vos goûts. Si vous n’avez pas d’idée de patron du tout, je vous conseille de chercher sur le web ou dans les revues spécialisées. Vous en trouverez des quantités. A partir de toutes ces idées, il vous appartiendra seulement d’adapter les coupes à vos mesures ou celles de vos modèles.

En principe, la confection d’un vêtement se déroule de la manière suivante. Vous découpez le tissu en fonction du patron. Ce dernier étant un ensemble de pièces tracées sur du papier spécial indispensable à la création d’un vêtement. Puis, vous épinglez les morceaux de tissus sur les bords. Vous pouvez enfin vous mettre à coudre avec la machine. Pour un rendu plus joli, faites des points d’ourlet là où vous jugez nécessaire. Ajoutez les accessoires de finition tels que les boutons ou les fermetures. Une petite séance d’essayage pour peaufiner le tout et le tour est joué.

Une fois que vous serez lancé et si vous vous prenez au jeu, il deviendra difficile de vous en passer. Vous trouverez des tissus qui vous donne tout de suite des idées et vous vous perfectionnerez au fil du temps. Confectionner vos propres vêtements, vous permettra aussi de possèder une garde-robe unique à votre image. Si vous n’avez pas la fibre autodidacte, autrement dit, le goût de vous instruire grâce aux articles et aux tutos sur internet, je vous conseille de suivre des cours de couture en bonne et due forme pour réussir. Il n’existe pas qu’une seule voie. Tous les chemins mènent à Rome !

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